(…) Dans la peau de Violetta, Anita Hartig émerveille par la fragilité d’une émotion agréablement dépouillée et la solidité d’un chant défendu avec une voix puissante et colorée. Les angoisses de Violetta gangrènent chaque intervention de la soprano auréolée d’une belle envergure artistique.(…)
Charlotte Saulneron – ResMusica
(…) Vocalement, le rôle est très particulier pour une soprano. Le premier acte exige une voix de colorature. Je transforme cet artifice de virtuosité en expression de la personnalité du personnage. Violetta révèlera toute sa profondeur, sa dimension lyrique, au fil des deux autres actes. Chaque spectateur peut s’identifier à cette jeune femme qui aime, souffre et meurt. (…)
A.-M. Chouchan – LaDepeche